Fables de Jean de La Fontaine, récitées et chantées sur des musiques d’Offenbach, Aboulker, Françaix.
Delphine ARBEAU soprano
Eric AUVRAY comédien
Marie Laure GALLIER piano
Allier musique à la diction des poèmes donne une acuité insoupçonnée aux Fables. Il s’établit un jeu de réponses qui étonne le spectateur, renouvelle son imaginaire. Les textes semblent avoir fait une cure de jouvence. On a devant nous une constellation d’animaux comme autant de personnages qui se mettent à dialoguer, à bouger, à vivre. Avec la musique, s’expriment les compositeurs qui rajoutent sur leurs portées un univers de rythme et de fantaisie.
Le principe d’éduquer par le plaisir est celui qui guide la Fontaine avec ses Fables dédiées au Dauphin. Ce qu’on appelle rapidement Morales sont soit des conseils « Il faut à partir à point », soit des constats « la raison du plus fort ».
Dommage que Sempé n’ait pas illustré la Fontaine. Dans son trait, il y a toujours de la tendresse pour ses personnages !
Fabuleux Fabuliste Fables de Jean de La Fontaine, récitées et chantées sur des musiques d’Offenbach, Aboulker, Françaix.
Delphine ARBEAU soprano
Eric AUVRAY comédien
Marie Laure GALLIER piano
Allier musique à la diction des poèmes donne une acuité insoupçonnée aux Fables. Il s’établit un jeu de réponses qui étonne le spectateur, renouvelle son imaginaire. Les textes semblent avoir fait une cure de jouvence. On a devant nous une constellation d’animaux comme autant de personnages qui se mettent à dialoguer, à bouger, à vivre. Avec la musique, s’expriment les compositeurs qui rajoutent sur leurs portées un univers de rythme et de fantaisie.
Le principe d’éduquer par le plaisir est celui qui guide la Fontaine avec ses Fables dédiées au Dauphin. Ce qu’on appelle rapidement Morales sont soit des conseils « Il faut à partir à point », soit des constats « la raison du plus fort ».
Dommage que Sempé n’ait pas illustré la Fontaine. Dans son trait, il y a toujours de la tendresse pour ses personnages !
Fabuleux Fabuliste Fables de Jean de La Fontaine, récitées et chantées sur des musiques d’Offenbach, Aboulker, Françaix.
20h – Eglise Saint-Martin – Yermenonville
Delphine ARBEAU soprano
Eric AUVRAY comédien
Marie Laure GALLIER piano.
Allier musique à la diction des poèmes donne une acuité insoupçonnée aux Fables. Il s’établit un jeu de réponses qui étonne le spectateur, renouvelle son imaginaire. Les textes semblent avoir fait une cure de jouvence. On a devant nous une constellation d’animaux comme autant de personnages qui se mettent à dialoguer, à bouger, à vivre. Avec la musique, s’expriment les compositeurs qui rajoutent sur leurs portées un univers de rythme et de fantaisie.
Le principe d’éduquer par le plaisir est celui qui guide la Fontaine avec ses Fables dédiées au Dauphin. Ce qu’on appelle rapidement Morales sont soit des conseils « Il faut à partir à point », soit des constats « la raison du plus fort ».
Dommage que Sempé n’ait pas illustré la Fontaine. Dans son trait, il y a toujours de la tendresse pour ses personnages !
17h – Théâtre de Nesle – 8 rue de Nesle – 75006 PARIS
Esquisse d’un portrait – Adaptation : Eric AUVRAY
Schubert 1797- 1828
Delphine ARBEAU soprano et pianiste
Jeyran GHIAEE pianiste
Eric AUVRAY metteur en scène et comédien
Spectacle émouvant, récit théâtral et récital original où musique et texte tissent un dialogue riche autour de celui qui les a écrits.
Une soprano, une pianiste et un comédien esquissent en une heure un portrait captivant de Franz Schubert.
Des lieder et des pièces pour piano répondent à des extraits de son journal et de sa correspondance qui font entendre les mots du musicien, de la lumière de la jeunesse à la tourmente de la maladie et de la mort.
Des mots et des notes, un piano et son tabouret, une petite table et son fauteuil… pour composer un portrait sensible.
Samedi 12 décembre 2015, Eglise des Billettes – 24 rue des Archives – 75004 PARIS Dimanche 13 décembre 2015, Basilique de Longpont – 91070 Longpont-sur-Orge
Rossini – Petite messe solennelle
Noémie LEGENDRE soprano
Camille MAGE mezzo
Julien DESPLANTES tenor
Olivier DEJEAN baryton
Ensemble de solistes Allegri, direction : Jean-Marie PUISSANT
Aude GIULANO accordéon
Frédéric MAGE piano
La petite messe solennelle proposée par Musique & Sortilèges dans sa version quasi-originelle, a été conçue par Giachino Rossini lui-même pour un choeur de solistes accompagné par un piano et un accordéon.
L’ensemble vocal Allegri dirigé par Jean-Marie Puissant, ainsi que Noémie Legendre, soprano, Camille Mage mezzo, Julien Desplantes ténor, Olivier Dejean baryton, accompagnés par l’accordéoniste Aude Giuliano et le pianiste Frédéric Mage, seront les artisans de la re-découverte de cette oeuvre surprenante et contrastée, aux accents opératiques et au sentiment religieux mêlés, merveilleuse parenthèse musicale empreinte d’une majestueuse sérénité. Rossini signe à 71 ans sa dernière oeuvre majeure, son testament musical après plus d’une trentaine d’années de silence. Il s’adresse malicieusement au Créateur lui-même en ces termes : « Bon Dieu. La voilà terminée cette pauvre petite messe. Est-ce bien de la musique sacrée que je viens de faire ou de la sacrée musique ? J’étais né pour l’opéra-bouffe, tu le sais bien ! Peu de science, un peu de cœur, tout est là. Sois donc béni et accorde moi le Paradis. »
Wolfgang Amadeus MOZART « Laudate Dominum», soprano et clarinette
Wolfgang Amadeus MOZART 2 extraits de « La clémence de Titus » : « Parto, parto », mezzo et clarinette ; « Ah, perdona… », soprano et mezzo
Franz SCHUBERT « Le pâtre sur le rocher » lied pour soprano, clarinette et piano
Franz SCHUBERT « Impromptu en mi bémol majeur », opus 90 N°2, piano solo
Gabriel FAURE « Après un rêve » op. 7 N°1, clarinette et piano
Camille SAINT-SAENS » « Ave Maria », soprano et mezzo
Gioachino ROSSINI 3 extraits de la petite messe solennelle : « Qui tollis peccata mundi » soprano et mezzo ; « O salutaris hostia » soprano ; « Agnus Dei » mezzo
Fables de Jean de La Fontaine, récitées et chantées sur des musiques d’Offenbach, Aboulker, Françaix.
Delphine ARBEAU soprano,
Eric AUVRAY comédien,
Marie Laure GALLIER piano.
Allier musique à la diction des poèmes donne une acuité insoupçonnée aux Fables. Il s’établit un jeu de réponses qui étonne le spectateur, renouvelle son imaginaire. Les textes semblent avoir fait une cure de jouvence. On a devant nous une constellation d’animaux comme autant de personnages qui se mettent à dialoguer, à bouger, à vivre. Avec la musique, s’expriment les compositeurs qui rajoutent sur leurs portées un univers de rythme et de fantaisie.
Le principe d’éduquer par le plaisir est celui qui guide la Fontaine avec ses Fables dédiées au Dauphin. Ce qu’on appelle rapidement Morales sont soit des conseils « Il faut à partir à point », soit des constats « la raison du plus fort ».
Dommage que Sempé n’ait pas illustré la Fontaine. Dans son trait, il y a toujours de la tendresse pour ses personnages !